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" Bonne journée."

Il lui frotta la tête. 

" Prenez soin de vous."

Sur ces mots, il sortit. 

Le brun rentra pour se laver avant de se rendre à son bureau.

La blonde referma la porte et monta se changer après avoir débarrassé la table. Elle se rendit pour midi au bureau où travaillait son fiancé et l’attendit Dans la salle.

Le brun était dans son bureau. Il y travailla jusque très tard le soir.

Appoline était chez elle. Ils s’étaient encore disputés, ou plutôt il l’avait encore engueulée, c’était humiliant. La blonde lâcha son sac et ramena ses jambes vers son buste.

Théo finit par sortir de son bureau aux alentours de 21h.

La blonde était chez elle, avec son verre de whisky jusqu’au moment où on entra chez elle. C’était Eisenwald. Il la tira avec lui dans la chambre.

Le brun rejoignit une blonde. 

" Salut. "
" Salut... "

Elle le regarda. 

" Du nouveau ?"
" Non... tu es sûr de vouloir continuer ?"
" Oui. Je risque gros mais je ne te laisserai pas tout seul. Tu as besoin de moi pour tout transmettre."

Le brun sortit une cigarette et commença à fumer.

" Merci."
" Il se peut que dans les jours qui viennent tu soies démasqué. Tes lettres me sauveront la vie, mais qu'adviendra-t-il de toi ?"

Le général haussa les épaules en sortant un parapluie.

" Je pries chaque jour pour avoir un bon timing. Si les alliés me délivrent avant ma mise à mort... je n'aurais rien... sinon... je ne sais pas vraiment quand agir... J'aimerais que ma mort soie utile, et en être certain... alors je comptais aller délivrer des juifs de Auschwitz "

Il se gratta la tête. 

" Tu es encore trop jeune pour mourir ! Tu as seulement 25 ans... je savais que tu étais trop jeune pour faire général... un autre aurait eu plus d'expérience."

" Sauf qu'ils ont tous eu mon âge... et quand je me dis que je suis l'un des plus jeunes généraux..."

Il expira. 

" je serais plus expérimenté à leur age."

La blonde fixait le plafond tandis que l’homm Sortait. Elle finit par descendre et prit une bouteille d’alcool quelle but seule.

Après la conversation, Théo rentra chez lui et alla se coucher.

Appoline s’assit par terre et ramena ses jambes vers elle avant d’y mettre sa tête.

Le lendemain, Théo se réveilla. Le brun posa sa main sur son front qui était brûlant. 

Il se leva lentement et s'apprétait à aller boire un thé lorsqu'il entendit frapper à la porte. Il ouvrit et vit plusieurs hommes.

" Général Wagner, vos soldats ont été délivrer des juifs du camp d'Auschwitz. Vous êtes désormais considéré comme un traitre et par conséquent vous rejoindrez vos confrère dans ce même camp. "

Le brun les regarda.

" Mais comme vous ne semblez pas en bonne santée, je doute que vous surviviez longtemps."

Le brun inspira. Il n'avait rien eu le temps d'ajouter et fut embarqué.

Appoline regarda sa bouteille vide se briser et récupéra les morceaux ke verre, s’entaillant les mains.

Ce fut autour de Taylor. Un homme la poussa pour rentrer chez elle.

" Vous êtes suspectée de trahison. Votre frère est déjà parti pour Auschwitz. "
" Quoi ? Mais je ne comprends pas ! J'ai rien fais !"

Elle inspira.

" Ça c'est mon inspection qui le dira. "

Elle resta sur le seuil de la porte et soupira.

Eddy la regarda. Il plissa les yeux.

« Il n’y a rien de compromettant ? » lui murmura t il.

" Pour moi non... Mais Théo ça ne fait qu'empirer son cas. Elle inspira. Regardez."

Elle attrapa une lettre et lui montra.

Eddy prit la lettre et la cacha sous son haut.

« D’accord... »

La brune le regarda et regarda l'homme qui ressortait. Il lanca :
" Vous avez de la chance. Au revoir."

Il sortit sur ces mots. Taylor inspira.

" Théo a été emmené à Auschwitz..."

Eddy l’emmena chez lui.

« Aïe aie aie... c’est la misère... pourquoi il n’a pas fait ça intelligemment... »

Il soupira.

« Ne vous en faites pas, tout va se précipiter je pense mais ça va se finir... »

Taylor le regarda.

" Il était déja surveillé... Il ne pouvait pas agir sans se trahir."

Elle inspira.

" Ce n'est qu'une question d'endurance et de temps maintenant. "

Elle plissa les yeux.

" J'espère qu'il va bien."

« J’espère pour vous aussi. »

Appoline regarda ses mains ensanglantées, c’était bientôt la fin de tout ça.